Quand le printemps étend
sur Beaulieu son emprise
Le cerisier en kimono blanc resplendit Et, tel un commerçant optimiste, nous dit : « Ici viendra bientôt la très rouge cerise ! » |
En faut-il, des couleurs, pour
la matière grise
De l’étudiant, du professeur, de l’érudit, Pour les neurones du chimiste et pour l’esprit De l’inventeur ! Mais j’ironise. |
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Des fleurs inattendues
surgissent de partout
Des branches biscornues arborent à leur bout Des serpentins graciles et des feuilles de rose Le campus prend des airs de
jardin japonais,
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