Dans le numéro 4212 du "Canard enchaîné",
on dit beaucoup de bien de sa prestation au Festival d’Avignon. On parle
également de lui dans le n° 2694 de Télérama.
Et c’est vrai qu’à Rennes aussi, entre la place Hoche et la rue Saint-Melaine, cet homme aux gants rouges et au masque blanc a su installer dans le quotidien de la ville quelque chose de mystérieux, de tabou, d’impossible à imaginer en dehors du théâtre : le véritable contact. Le silence du comédien devient alors la caresse du vent, le temps de la ville s’efface, le regard des gens ne compte plus. Et pour la jeune femme qu’il a enlacée, cette étreinte n’a plus d’autre durée que celle, étroite et infinie, d’un abandon momentané et éternel. Alors on entend, quelque part au fond de son subconscient, la musique et les paroles de la chanson « Mon amant de Saint-Jean »… |
|
|
|
![]() |
|