Merci encore à tous ces amis.
La Poste de l’Antiquité à nos jours :
1) Chronologie des faits marquants avant l’ère Chrétienne : :
Voilà 3600 ans avant notre ère : invention de la roue par
les Assyriens (merci pour la bicyclette de nos facteurs !).
En – 1400 : les Phéniciens
inventent l’alphabet
En - 618 : sous le règne de Nabuchodonosor, l’écriture en lettres grecques arrive en Italie (heureusement ! Avec un nom aussi compliqué !) |
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En - 490, création d’un poste de télégraphiste à Marathon (la bicyclette, hélas, n’était point inventée) |
En - 269, selon l’étude
de l’Abbé Néfice, à Rome, accord sur les salaires
dans les entreprises d’Etat.
Le Père Iscope qui voit loin, pose la question : "Et nous… Et nous ?", en invoquant St Michel qui a été le seul à terrasser le Démon. En - 22 l’Empereur Auguste instaure le courrier Régulier. |
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En l’an 745 : Liu Yen crée en Chine le premier service Postal
En 968 : King Fou invente le
téléphone sans fil.
En 1265 : création du Service Postal en Mongolie : depuis cette époque, les véhicules de la Poste sont jaunes ! |
1928 : Selon le Père No, le Père Pendiculaire a accompagné Mermoz lorsqu’il a créé la ligne Buenos Aire – Rio. |
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Résumons : après l’invention de la roue, St Fiacre n’est-il point le précurseur de la Chaise de Poste, de la diligence ?
D’autre part il y a le grand Saint Michel, les Postiers y sont très attachés et vont lui rendre hommage à St-Michel-en-Grève plusieurs fois par an…. (au risque de perdre des journées de travail !)
L’Abbé de Saint Brieuc raconte une anecdote (ce n’est pas une coquille) : dans les Côtes d’ Armor, un facteur dénommé Letort s’est rendu célèbre par des services rendus aux personnes seules et éloignées des villages. Il amenait non seulement les mandats mais aussi les petites commissions : sel, poivre (le poivre d’Armor est réputé), sucre et café, les gens disaient à la ronde : « Depuis que Letort est facteur nous buvons du bon café ». Le Père Colateur en a profité le premier.
Avant de conclure mon exposé, je voudrais remercier toutes les personnes qui m’ont aidé et documenté :
- le Père Cepteur pour
avoir financé mon déplacement.
- l’Abbé Ration qui
m’a nourri,
- le Père Gola qui m’a
donné un toit,
- le Père Méable
qui m’a prêté sa cape.
Je pardonne au Père Pendiculaire qui m’avait conseillé d’aller
tout droit, alors que le Père Imètre préconisait de
faire le tour pour vous rencontrer…
Enfin je citerai Saint Fiacre, le grand Visionnaire. Un soir à la prière, il termina par cette phrase : « Pour la Poste, j’en pince, Monseigneur. »
R. Levaillant