Tous ensemble nous avons déposé sur la toile un vraiment bel objet au sein duquel le lecteur occasionnel continuera de trouver, s'il veut bien s'arrêter ici un moment, de l'émotion, de la drôlerie, de la poésie, de l'amour pour une ville, des coups de colère ou de déprime aussi, enfin tout ce qu'on trouve dans la vraie vie.

        Plus qu'un roman urbain, Rennes en délires est devenu une maison d'édition virtuelle qui a publié un certain nombre de textes de Rennais ou de citoyens du monde intéressés par les thématiques développées.
 

Les initiateurs de ce site, soucieux de jouer à leur tour au jeu de lecture subjective proposé par ce "roman qu'on peut lire dans n'importe quel ordre", vous réclament un répit afin de pouvoir continuer, en la réorganisant sur le papier, l'enquête sur la disparition d'Isaure Chassériau.          Celle-ci vient en effet de faire un grand bond car on a retrouvé le portrait d'Isaure. Le tableau a été enchassé dans l'espèce de menhir mal taillé qui se dresse à la sortie de la station de métro Villejean-Université.          Allez voir par vous même. Dans ce bloc de granit, il y a une fente verticale. Approchez votre oeil et regardez : Isaure est là.          Elle a un aspect assez surprenant mais c'est bien elle.          "Madame Bovary, c'est moi" avait dit Flaubert. Isaure Chassériau c'est...

 
      Jean-Paul Legrand

P.S. Merci également à Hervé Lelardoux et Joël Henry qui n'ont pas écrit mais nous ont inspiré plein de parcours. Bonne continuation à tout le monde !